Les courses « hispano-landaises » ont été très en vogue dans les Landes entre le milieu des années 1860 et la Première Guerre mondiale. Elles s’organisaient en deux parties : l’une réservée aux écarteurs et sauteurs, et l’autre à une cuadrilla espagnole constituée d’un matador et de banderilleros. Généralement, on ne tuait pas de taureau, ou parfois 1 seul, le dernier. Voici un diaporama de quelques vues réalisées dans les anciennes arènes de « la Mecque de la course landaise » par un photographe anonyme et éditées par le Pomarézien Vincent Lussan. On remarquera que l’Harmonie était moins fournie qu’aujourd’hui mais que sa bannière récemment restaurée la précédait déjà…






